Les deux amies soumises

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il y a 9 ans

C'était un vendredi soir. Nous avions beaucoup discuté. Je les avais rencontrées par internet. Elles m'avaient envoyé un mail, me disant qu'une de mes "aventures" leur avait dit de me contacter. Elles étaient à la recherche de quelqu'un qui saurait jouer avec elles en les dominant toutes les deux. Notre amie commune avait dû être particulièrement satisfaite de ma prestation.

Elles s'appelaient Caroline et Fanny. Nous avions discuté pendant près d'une semaine tous les soirs par échange de mail et messagerie instantanée. Il en ressortait qu'elles aimaient le sexe et s'amusaient parfois entre elles. Elles aimaient se laisser aller mais chacune de son côté avait été déçue quand on lui avait promis de la dominer. "Juste un bandeau sur les yeux ou une paire de menottes". Mais elles ne voulaient pas tomber dans l'extrême et donc ne pas aller en club. J'avais donc la lourde tâche de leur faire dépasser leurs précédentes expériences sans aller trop loin (nous avons tout de même défini un mot de passe). Cela promettait d'être intéressant, surtout que je n'avais jamais joué avec deux femmes à la fois.

Nous avions rendez-vous dans un café pour prendre un verre mais cela fut rapide, je les sentais anxieuse mais excitées et impatientes. Nous sommes donc rapidement allés chez moi. Tout ce qu'elles savaient de leur soirée c'est que nous allions jouer tous les trois et que les actions de l'unes auraient des conséquences sur l'autre.

Elles avaient entre 30 et 35 ans toutes les deux. Caroline était blonde, les yeux marrons, assez grande. Il parait que c'était la moins farouche des deux. Elle portant un jean moulant et un beau décolleté. Fanny pour sa part était plus petite, blonde également mais les yeux verts. C'est elle qui m'avait contactée en leurs noms et avec qui j'avais le plus discuté. Elle était la plus dévergondée et celle avec le plus d'expérience.

J'habitais un petit appartement dans Paris et en arrivant je les ai invitées à se mettre à l'aise dans ma chambre. Elles ont posé leurs sacs et leurs manteaux et m'ont ensuite regardé, les yeux plein d'attente, entre désir et frayeur, ne sachant pas du tout ce qui allait leur arriver, à l'exception du fait que cela allait être sexuel et intense. Elles ne pouvaient pas ne pas avoir vu le bandeau de satin et le bâillon boule sur la table, seuls objets visibles. Je leur montrai.

"Un chacune" leur dis-je, "je vous laisse entre vous pour choisir. Réfléchissez bien. Mettez-les, déshabillez-vous et appelez-moi quand vous serez prêtes. Si vous voulez partir, c'est maintenant, après vous serez à moi."

Et je me dirigeai dans la cuisine en attendant qu'elles soient prêtes, le sourire aux lèvres. Je les écoutais comme je le pouvais, la porte étant encore ouverte. Elles chuchotaient;

"Tu as déjà mis ça toi?" C'était Caroline

"- Oui, mais je ne sais pas ce qui arrivera selon le choix que l'on fait" lui répondit Fanny

"- Je me sentirai mieux si je ne vois pas, j'aurai moins peur"

"- Mais tu sais que si j'ai ça dans la bouche, c'est toi qui devra surement le sucer"

"- Et alors? Je ne suis pas coincée à ce point quand même"

J'en ris au fond de moi-même. Elles étaient assez libérées, je le savais, elles m'avaient dit avoir déjà pratiqué tout ce que je prévoyais de leur faire subir ce soir, mais à priori Fanny considéraient vraiment Caroline comme une fille coincée.

"- On lui a demandé de nous en faire un peu baver"

"- Je sais, mais j'ai envie de me lâcher, peut être que tu arrêteras de me considérer comme une sainte nitouche. Pour la peine, je prends le bandeau et je le pomperai!"

Je les entendis remuer et les S a n g les du bâillon s'entrechoquer. Caroline devait être en train de le mettre à Fanny. Puis des bruits de vêtements, quelques rires gênés et puis plus rien... je m'inquiétais un peu. Que faisaient-elles? Au bout de 30 secondes, Caroline m'appela, sa voix un peu hésitante.

Quand j'arrivais dans la pièce, elles étaient debout l'une face à l'autre. Caroline semblait attentive, détendue pendant que Fanny me regardait avec de grands yeux. L'une avait gardé tous ses sous-vêtements, l'autre uniquement son string.

J'ordonnais à Fanny de finir de déshabiller sa camarade, ce qu'elle fit sans un bruit, sans rechigner, presque froidement. Puis j'ordonnais la même chose à Caroline qui eut un peu de mal à se repérer sur le corps de sa compagne mais finit à genoux face à elle, chacune nue.

Je fermais la porte, prit Fanny, la fit s'allonger sur le lit et lui attachais des s a n g les avec mousqueton (en les attachent entre elles, on en fait des menottes).

Je pris ensuite Caroline par la main et leur annonça que je ne voulais plus l'entendre parler si ce n'était pas pour répondre à une de mes questions et que la première à jouir subirait la première punition de la soirée. Je sentis sa main se tendre dans la mienne.

Je passais égalaient des S a n g les aux chevilles de Caroline puis je l'installais sur Fanny, à quatre pattes, tête bêche. Un beau 69 en perspective pour commencer. Je joignais les S a n g les des pieds de Caroline aux poignets de Fanny, lui permettant ainsi de contrôler l'écartement de ses cuisses. Je sentais qu'elles ne voyaient pas ou je voulais en venir.

"Vous voilà en place. Comme je l'ai déjà dit, la première qui jouit sera punie. Je vous invite donc à être efficace si vous ne voulez pas subir cela... à moins que vous préfériez vous sacrifier pour votre copine. Caroline, tu vas la lécher et toi Fanny, tu vas frotter ton bâillon contre son clito. Tu peux écarter ses jambes afin de lui faire descendre le bassin si elle le remonte trop, tu n'as qu'à écarter tes bras. A vous mesdemoiselles".

Aussitôt, ta tête de Caroline plongea dans l'entrejambe de Fanny et elle se mit à la lécher furieusement. Fanny fut surprise de la vigueur de sa camarade et gémis dans son bâillon puis ne perdit pas de temps et fit écarter les jambes de Caroline pour frotter sa boule rouge contre sa copine. Elle préféra être douce, pensant peut être que le plaisir monterait plus vite.

Elles étaient si belles à se gouiner ainsi. Je tournais autour d'elles, voyant le plaisir et le défi dans les yeux de Fanny, la détermination dans la bouche de Caroline. En quelques minutes, elles gémissaient toutes les deux, mais on sentait que Caroline avait un avantage... injuste? Tant pis, elles avaient eu le choix des armes. Je décidais d'aider un peu Fanny en caressant le dos, les fesses de Caroline, passant mon doigt de sa nuque jusqu'à son anus que je titillais d'un geste léger, tentant de rétablir l'équilibre.

Caroline n'était pas prête à se laisser faire et prit à priori cela comme une autorisation à utiliser ses mains qui ne faisaient que la soutenir jusqu'à présent. Elle glissa un doigt dans le sexe de son amie et reprit son activité buccale de plus belle. On sentait que Fanny allait partir. Elle me regardait énervée, apeurée, frottant maintenant avec vigueur son visage contre l'entrejambe de Caroline. Elle ne voulait pas jouir, elle essayait de se retenir, je me reculais pour mieux les regarder. Cela dura encore une bonne minute, celle du dessous au bord de la jouissance, se tordant pour repousser l'échéance. Celle du dessus devenant de plus en plus bruyante, sentant son plaisir monter quand d'un coup, elle sortit les deux doigts qu'elle avait dans le vagin de l'autre pour lui glisser un doigt dans le cul et un dans la chatte.

Fanny n'y put rien, elle explosa littéralement de plaisir, se tordant, poussant des hurlements étouffés par son bâillon. On arrivait toutefois à discerner les mots "tricheuse" et "injuste", profanés à l'encontre de Caroline qui semblait soulagée et se laissa tomber.

Je ne les laissais pas se remettre totalement de la situation et après avoir profité du spectacle quelques secondes, je les détachais. Je poussais Caroline sur le côté, lui disant de ne pas bouger du lit et attrapais Fanny par le bras pour la mettre debout. Je lus la peur sur son visage lorsqu'elle me vit attr a p e r des liens et ce qui allait être l'objet de sa punition...

Les liens en questions consistaient en un morceau de corde attachée à un morceau de bois. Simple, rudimentaire, mais très pratique lorsque passés au-dessus d'une porte fermée ils permettent d'improviser une point d'attache, le morceau de bois empêchant la corde de glisser. J'attachais ainsi Fanny les bras en l'air avec les S a n g les qu'elle avait encore autour des poignets, légèrement écartés. Qu'elle était belle ainsi, totalement nue, indécemment exposée et la bouche pleine.

Je fis ensuite mettre Caroline à genoux, dos à son amie. Je lui caressais le visage en lui chuchotant les mots suivants :

"- Ouvre la bouche, et suce bien. C'est pour elle".

Elle s'exécuta et j'insérais dans sa bouche le plug volumineux que j'avais dans la main gauche. Je l'avais monté au bout d'un manche à balais télescopique dont on ajuste la longueur à souhait en tournant les deux parties du manche pour serrer. Le bout n'était pas particulièrement épais mais en son centre, il était bien plus large qu'un sexe, pour retrouver ensuite une base de taille raisonnable.

Caroline eut du mal à aller très loin, sa mâchoire s'étirant rapidement. Elle en avait compris la forme, c'était le but de l'opération. Je ressorti l'objet de sa bouche pour y passer une capote, la lubrifier et me diriger vers Fanny. Je la fis mettre sur la pointe des pieds, ses mains aidant à la maintenir le plus haut possible en tirant sur les cordes et je posais le manche à balais debout, calé entre le sol et l'entrée de son anus, ajusté comme il fallait.

"-Mesdemoiselles, je pense que vous avez compris que Fanny est sur le point de s'empaler sur ce plug aux sympathiques dimensions. Caroline, tu peux abréger son supplice. Tu vas me sucer, et quand j'aurai joui, je libèrerais ton amie. J'espère que tu seras performante." Et je rajoutais dans l'oreille de la punie "à toi de voir si tu préfères être écartée longtemps ou finir de t'empaler pour soulager ton sphincter". Ayant vu l’objet, elle savait de quoi je parlais et acquiesça de la tête.

Je me suis donc déshabillé et installé dans un fauteuil face à Caroline, toujours à genoux. Je la fis approcher et guidais sa bouche sur mon sexe dressé par la vue excitante de Fanny, le regard apeuré et les bras en plein effort pour soulager ses pieds dressés.

"-Tu n'as le droit qu'à ta bouche tant qu'elle ne sera pas totalement empalée. Maintenant suce, et vite pour son bien". Elle se jeta sur mon sexe, le gobant de plus loin possible, le serrant ardemment entre ses lèvres, aspirant du mieux qu'elle pouvant sans toutefois en faire de trop et faisant entrer et sortir mon membre de sa bouche le plus vite qu'elle le pouvait. La sensation était divine, et quel plaisir de voir cette fille se donner avec tant d'acharnement, imaginant sûrement la sensation que devait ressentir son amie qui s'empalait d'elle-même petit à petit sur ce bel objet.

Les secondes puis les minutes passèrent. Caroline était douée de sa bouche mais Fanny commençait à lâcher prise et à plusieurs reprise elle s'était laissée aller, ses pieds plus aussi tendu qu'au début et le plug devait déjà être en elle de quelques centimètres. Elle commençait à suer.

"- Caroline, ton amie commence à fatiguer. Cela serait dommage qu'elle s'empale entièrement, elle devrait alors subir l'extraction du plug. J'espère que tu ne perdras pas le jeu suivant sinon elle pourrait être rancunière". Ceci fit redoubler d'ardeur la langue qui s'activait sur mon sexe tendu au maximum. Cela commençait à devenir réellement agréable et je n'allais pas tenir encore très longtemps.

Caroline commençait à gémir, tentant de m'exciter encore plus quand l'on entendit une longue plainte étouffée. Fanny avait les yeux fermés, elle avait les pieds au sol. J'en devinais qu'elle venait de se laisser aller, son cul totalement rempli maintenant. Elle rouvrit les yeux, mouillés mais plein de défi. On sentait sa colère.

"-Tu peux maintenant utiliser tes mains". Caroline ne se fit pas prier et empoigna mon sexe pour accompagner sa bouche. Je n'allais pas tenir longtemps.

"-Fanny, vu que tu as souffert à cause de ton amie. Réponds-moi de la tête. Désires-tu que je jouisse dans sa bouche?". Caroline eut un temps d'arrêt, sûrement étonnée. 'Continues toi, on ne t'a pas demandé d'arrêter". La réponse de Fanny se fit attendre, mais elle hocha la tête de manière affirmative. Je me laissais donc tomber en arrière dans mon fauteuil et m'abandonnais aux caresses de ma bienfaitrice avant de me libérer entre ses lèvres. Elle avala difficilement les saccades abondantes de cette première éjaculation, le sperme coulant lentement sur son menton. Je lui reculais la tête et on devinant sa mine déçue, navrée.

Après quelques instants à reprendre mes esprits, à savourer la scène, je me levais pour attr a p e r de quoi essuyer Caroline puis allais ensuite détacher le manche du plug et libérer enfin Fanny. Je la guidais jusqu'au lit ou elle s'affala, les jambes à priori douloureuses.

"-Tu vas pouvoir souffler, on va s'occuper d'elle à présent... reste à déterminer si ce sera pour la récompenser ou la punir." lui dis-je et nous vîmes tous les deux Caroline se tendre.

Auteur Bill

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